UVED

Question 1 - La DCE "Eau" a fixé pour objectif à la France, un bon état général des eaux souterraines et de surface d’ici à 2015. Pour les eaux souterraines, cet objectif sera-t-il atteint par la Région Aquitaine ?

Question 2 - En présence de traces de coliformes dans un captage d’eau potable, l’exploitant a le choix entre plusieurs solutions :

Question 3 - Les éléments suivants : O, Si, Al, Fe, Ca, Na, K, Mg, Ti, H, P et Mn sont appelés éléments majeurs en opposition avec les autres éléments regroupés sous l’appellation éléments traces ?

Question 4 - Le Fond pédo-géochimique naturel ou FPGN, est une constante propre à la réglementation de la CE. Elle représente une constante du sol et des formations géologiques composant le sous-sol pour chaque élément.

Question 5 - Le terme "Teneurs agricoles habituelles" (TAH) s’applique uniquement aux terres agricoles ?

Question 6 - Pour étudier la propagation d’une substance polluante dans une nappe souterraine, les éléments à prendre en considération sont au nombre de 4 ?

Question 7 - La liste optimale des paramètres à acquérir pour la prise en compte des phénomènes biogéochimiques intervenant dans le transfert des polluants est basée sur un certain nombre de caractéristiques. On distingue trois types de milieux (les substances, le sol et l’aquifère) et deux types de mécanismes (de sorption et de dégradation) ; est-ce exact ?
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Question 8 - Le schéma ci-contre illustre les différentes étapes d’échantillonnage des eaux souterraines, est-il complet ?

Question 9 - Du point de vue stockage et transport d’échantillons d’eau, la réglementation demande à ce que chaque échantillon soit conditionné dans des flacons de verre neufs, hermétiques et non transparents (bouchon adapté), conservé à l’abri de la lumière à -4°C et analysé sous 24h maximum ?

Question 10 - En Hydrogéologie, il faut différencier les formations perméables (sable, roches consolidées fracturées, grès) de celles imperméables (argiles et limons argileux). Cette différence provient de la nature géologique des formations et le paramètre permettant de caractériser cette propriété est la vitesse d’infiltration basée sur une constante Kd ou constante de diffusion propre à chaque nature de roche.

Question 11 - Est-il possible d’interdire l’usage d’amendements azotés dans le périmètre de protection éloigné d’un captage d’eau souterraine pour l’alimentation en eau potable ?

Question 12 - L’ensemble des points de captage d’eau potable doit bénéficier de périmètres de protection d’ici 2015 ?

Question 13 - Les objectifs de protection sont-ils standardisés pour tous les captages se trouvant sur le territoire français ?

Question 14 - La législation sur les périmètres de protection des captages d’eau potable est particulièrement efficace pour lutter contre les pollutions diffuses ?

Question 15 - Qui désigne la liste des hydrogéologues agréés en matière d’hygiène publique afin d’instruire un dossier d’établissement de périmètre de protection ?

Question 16 - Il appartient à la collectivité bénéficiaire d'engager la procédure de déclaration d'utilité publique (DUP) préalable à l’établissement du périmètre de protection ?

Question 17 - L’irrigation restitue la majorité de l’eau prélevée directement au milieu naturel.

Question 18 - Les systèmes aquifères profonds ne comportent pas de régime d’étiage à l'échelle d'une année.

Question 19 - Les pollutions chroniques représentent les flux de pollution les plus significatifs.

Question 20 - La pollution des eaux d’origine industrielle est en augmentation en France.

Question 21 - Les installations d’épuration des eaux usées domestiques ne présentent pas, en France, de défauts de conformité réglementaire.