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distance hydraulique de la parcelle au réseau hydrographique
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pente de la parcelle
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longueur de la parcelle dans le sens de la pente (dans le sens des écoulements)
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existence d'une « protection aval », c'est-à-dire d'un dispositif protégeant le réseau hydrographique des transferts par ruissellement de pesticides venant de la parcelle étudiée
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existence d'un drainage artificiel
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taux de matière organique du sol (interagissant avec le KOC des molécules de produits phytosanitaires)
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état de surface du sol déterminant l'aptitude intrinsèque du sol à déclencher un ruissellement
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le taux de matière organique n'a pas été retenu pour des raisons opérationnelles. Introduire ce facteur dans la méthode aurait contraint la méthode à n'être applicable que sur moins de 5% des parcelles (sur celles pour lesquelles on connaît précisément le taux de matière organique par analyse). L'abandon de ce facteur est scientifiquement extrêmement regrettable car on connaît son importance. Mais si on avait introduit ce facteur cela aurait sans doute condamné la méthode à ne pas être utilisée...
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l'état de surface du sol n'a pas été retenu pour deux trois raisons principales : pour des raisons opérationnelles comme dans le cas précédent, parce ce que ce facteur est variable dans le temps à l'intérieur de l'année et cela aurait conduit à un indicateur de risque temporel très riche sur le plan technique mais d'usage délicat et parce que ce facteur n'est pas indépendant du taux de matière organique...
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distance hydraulique de la parcelle au réseau hydrographiqu
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existence d'un drainage artificiel
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pente de la parcelle
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longueur de la parcelle dans le sens de la pente
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existence d'une protection aval