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Plus de 700 techniciens et ingénieurs ont été formés à la mise en oeuvre de cette méthode.
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Environ 200 000 hectares ont été classés avec cette méthode en Bretagne (environ 1/7 de la surface agricole). Certains bassins versants sensibles ont été presque intégralement classés et cartographiés.
Exemple
Un exemple de cartographie du risque parcellaire de contamination des eaux par les produits phytosanitaires : le bassin versant du Frémeur, petit bassin versant de 1600 ha (Morbihan).
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Il y a eu une telle mobilisation dans aucune autre région de France,
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Des résultats sensibles sur l'amélioration de la qualité des eaux ont été obtenus en particulier pour l'atrazine et ses métabolites avant son interdiction en France mais aussi pour d'autres molécules.
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Des contaminations résiduelles des eaux subsistent en particulier par le glyphosate et son adjuvant l'AMPA et par l'isoproturon (désherbant des céréales d'hiver). Dans le cas du glyphosate c'est sans dote à imputer à modes particuliers de contamination (mauvais usages : désherbage des fossés, des talus, des fourrières...)