Le climat joue un rôle très important sur les données à caractère hydrogéologique du sous-sol de Vilmot.
La pluie, la température, l’insolation, les vents sont des facteurs déterminants dans l’établissement des bilans des nappes d’eau souterraine, quelles soient isolées ou qu’elles participent à un système multicouche.
La région est soumise à un climat doux et humide, on observe une fréquence de pluie d’un jour sur trois en année sèche et d’un jour sur deux en année pluvieuse. La hauteur moyenne annuelle d’eau de pluie est de l’ordre de 900 mm, la température moyenne 12,6°C et l’insolation moyenne 2000 heures/an environ. Les vents dominants sont à 40% de direction W-SW.
La période la plus humide se situe généralement en mars, alors que le mois d’août est le plus sec, le ruissellement, faible au début, augmente rapidement. Une certaine quantité d’eau s’infiltre et participe à la recharge du sol et de la roche réservoir affleurante, pour créer un écoulement hypodermique pouvant atteindre la nappe.
Voir les hauteurs pluviométriques enregistrées aux stations météorologiques les plus proches de la zone d’étude. On pourra noter qu’à la fin septembre 1994, plus de 900 mm de précipitations sont déjà tombés depuis le début de l’année, soit plus de la valeur annuelle moyenne.
La pluie, la température, l’insolation, les vents sont des facteurs déterminants dans l’établissement des bilans des nappes d’eau souterraine, quelles soient isolées ou qu’elles participent à un système multicouche.
La région est soumise à un climat doux et humide, on observe une fréquence de pluie d’un jour sur trois en année sèche et d’un jour sur deux en année pluvieuse. La hauteur moyenne annuelle d’eau de pluie est de l’ordre de 900 mm, la température moyenne 12,6°C et l’insolation moyenne 2000 heures/an environ. Les vents dominants sont à 40% de direction W-SW.
La période la plus humide se situe généralement en mars, alors que le mois d’août est le plus sec, le ruissellement, faible au début, augmente rapidement. Une certaine quantité d’eau s’infiltre et participe à la recharge du sol et de la roche réservoir affleurante, pour créer un écoulement hypodermique pouvant atteindre la nappe.
Voir les hauteurs pluviométriques enregistrées aux stations météorologiques les plus proches de la zone d’étude. On pourra noter qu’à la fin septembre 1994, plus de 900 mm de précipitations sont déjà tombés depuis le début de l’année, soit plus de la valeur annuelle moyenne.