Remarque
Les fluides utilisés doivent répondre aux exigences de la sauvegarde et de la protection de l’environnement et également être conformes aux normes en vigueur.
FORAGE A LA BOUE :
La remontée des sédiments dans l’espace annulaire est assurée par la boue dont la vitesse ne doit pas être inférieure à 1 m/s.
De plus, la viscosité qui régit les conditions d’écoulement doit être maintenue à environ 60 s Marsh, par dessablage (pourcentage de fines inférieure à 1 %) et adjuvants en cas de dégradation des caractéristiques rhéologiques de la boue par le terrain.
La remontée des sédiments dans l’espace annulaire est assurée par la boue dont la vitesse ne doit pas être inférieure à 1 m/s.
De plus, la viscosité qui régit les conditions d’écoulement doit être maintenue à environ 60 s Marsh, par dessablage (pourcentage de fines inférieure à 1 %) et adjuvants en cas de dégradation des caractéristiques rhéologiques de la boue par le terrain.
FORAGE A L'AIR
FORAGE A LA MOUSSE :
Afin d’évacuer les déblais dans l’espace annulaire, la vitesse ascensionnelle doit être d’au moins de 15 m/s.
En présence de cavités, de karst ou lorsque la remontée d’air est insuffisante (inférieure à 15 m/s).
Afin d’évacuer les déblais dans l’espace annulaire, la vitesse ascensionnelle doit être d’au moins de 15 m/s.
En présence de cavités, de karst ou lorsque la remontée d’air est insuffisante (inférieure à 15 m/s).
CIRCULATION DIRECTE OU INVERSE :
En général, la circulation directe est utilisée.
Lorsque le diamètre du forage est important ou en terrain karstique, la circulation inverse permet de conserver une vitesse ascensionnelle suffisante, sans augmenter la puissance de la pompe à boue ou du compresseur.
En général, la circulation directe est utilisée.
Lorsque le diamètre du forage est important ou en terrain karstique, la circulation inverse permet de conserver une vitesse ascensionnelle suffisante, sans augmenter la puissance de la pompe à boue ou du compresseur.
Exemple de schéma de circulation inverse
Crédits
Source documentaire : BRGM