La profondeur du niveau d'eau dans le forage sera mesurée au centimètre près par rapport à un repère fixe, référencé par rapport au sol :
- niveau statique à mesurer sur tous les points du suivi avant le démarrage du pompage (forage, éventuels piézomètres et repères en eau de surface),
- mesures de niveaux en cours de pompage suivant la cadence précisée au tableau 1.
Tableau 1
La remontée de l'eau dans le forage après l'arrêt du pompage est également suivie avec la même cadence.
Le pas de temps d’acquisition des enregistreurs automatiques est réglé à une durée ≤ 10 min pour un pompage inférieur à 72 h, et 15 min au-delà.
Le débit est contrôlé régulièrement en cours de pompage à la même fréquence que les mesures de niveaux pour t > 15 min. Si le dispositif de mesure consiste en une simple lecture (compteur volumétrique, débitmètre électromagnétique ou tube de Pitot, bac jaugé), on adopte les mêmes fréquences que pour les mesures de niveau dès le début du pompage.
Des caractéristiques physiques sont observées visuellement (turbidité, venue de sable, etc.) par des prélèvements dans des bouteilles transparentes, que l’on comparera à un échantillon témoin (eau potable), puis que l’on quantifie après décantation (taille des grains et mesure de la taille de la pastille résultant d’un vortex appliqué dans la bouteille).
Suivant le type de nappe, une surveillance chimique peut être demandée dans le protocole de pompage (conductivité, nitrate, fer, turbidité, etc.).
Le pas de temps d’acquisition des enregistreurs automatiques est réglé à une durée ≤ 10 min pour un pompage inférieur à 72 h, et 15 min au-delà.
Le débit est contrôlé régulièrement en cours de pompage à la même fréquence que les mesures de niveaux pour t > 15 min. Si le dispositif de mesure consiste en une simple lecture (compteur volumétrique, débitmètre électromagnétique ou tube de Pitot, bac jaugé), on adopte les mêmes fréquences que pour les mesures de niveau dès le début du pompage.
Des caractéristiques physiques sont observées visuellement (turbidité, venue de sable, etc.) par des prélèvements dans des bouteilles transparentes, que l’on comparera à un échantillon témoin (eau potable), puis que l’on quantifie après décantation (taille des grains et mesure de la taille de la pastille résultant d’un vortex appliqué dans la bouteille).
Suivant le type de nappe, une surveillance chimique peut être demandée dans le protocole de pompage (conductivité, nitrate, fer, turbidité, etc.).
Les cadences des suivis des piézomètres et des eaux de surface seront adaptées en fonction du type de nappe (une nappe libre réagit par exemple moins vite qu’une nappe captive) et de la distance forage pompé/piézomètre selon le modèle présenté au tableau 2 à titre indicatif.